Je n'ai pas honte de le dire, J'AIME LA FOURRURE! Ouais ouais! C'est magnifyyyque ma chéwie, c'est doux, ça tient chaud et ça tient des années et des années (les peaux de raton laveur, de loutre et de castor à poils longs ont une durée de vie pouvant atteindre les 100 ans par exemple). Cependant, que les Brigitte Bardot se détendent, je ne suis pas de ces Cruellas d'enfer qui cautionnent la tuerie animale afin de recolter cette matière précieuse. Que faire alors? LE RECYCLAGE! Eh ouiiiiiiiii. Le recyclage a le vent en poupe et pas seulement pour les ordures ménagères, ou Titi la perçeuse. On retourne les greniers de mémés, on sort des pièces qui ne serviront plus en l'état et on les enmène aux adresses ecoLuxe suivantes:
#1 - Harricana - Une canadienne, Mariouche Gagné est à l'origine de ce concept. Elle a commencé il y a 15 ans avec la fourrure, continué avec la soie et maintenant recycle des anciennes robes de mariée. Harricana, c’est 190 points de vente dans le monde entier et plus de 80 000 manteaux recyclés (donc 80 000 animaux épargnés).
#2 - RachelF - Une canadienne aussi, Rachel Fortin, spécialiste de bijoux en fourrure, a adopté ce concept et marche sur les traces de Mariouche G. Les mots d'ordre de sa société sont récupération ainsi que production locale et artisanale. « J’utilise principalement des peaux et autres matériaux recyclés qui proviennent de vêtements usagés, des rebuts de production, d’échantillons et de matières test inutilisés par les grands fabricants. Nous vivons dans un monde de surconsommation où il est possible de réutiliser » clame la jeune créatrice de mode.
D'autres enseignes le propose mais sont principalement, dans un premier temps, créateur de vraies fourrures, issues uniquement d'espèces abondantes et non d'espèces menacées, mais nécéssitant tout de même de tuer des animaux.
De quoi redonner à toutes ces pièces de fourrure, du poil de la bête! (fallait que je la place celle la!)
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